elles me caressent violemment
mains hurlantes et blêmes
fantomatiques ou revenantes
perdues sans piano
leur âme à fleur de peau, unique,
tristes
sorties des ténèbres des corps cachés
derrière la grille que la conscience oublie
corps tus
seules les mains
sur mon front fiévreux
sur mon coeur battant
laissez-moi maintenant
je vous serre bien fort
cordialement,
caroline
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